Les actus Amio
Spécialisée dans la conception et l’assemblage d’équipements de manutention et de levage, AMIO est aujourd’hui l’une des références dans ce domaine. Récemment, l’entreprise a pris pied sur un nouveau continent, l’Afrique, où elle espère développer son activité. Zoom sur les origines et les activités de cette firme de l’ouest de la France.
AMIO : les origines de l’entreprise
En 1989, Bruno Launay, électromécanicien, fonde sa propre entreprise dans l’ouest de la France, pour exercer dans le domaine de la maintenance industrielle. Il apporte son expertise aux grands constructeurs d’appareils de levage en installant et en effectuant la maintenance de ponts roulants, potences, monorails ou portiques.
En 1994, l’entreprise est en pleine croissance. Bruno Launay la rebaptise A.M.I.O (Assistance Maintenance Industrielle de l’Ouest). Il traite désormais avec ses propres clients.
Du pont roulant au portique de manutention : la société aujourd’hui
En 2003, la société se lance dans la conception de ses propres machines. Elle propose désormais une large gamme d’appareils : du pont roulant au portique de manutention en passant par le palan électrique.
Ces équipements sont utilisés dans de nombreux secteurs d’activité comme la construction navale, la sidérurgie, l’aéronautique, la logistique ou encore les travaux publics. L’entreprise fournit également des services de maintenance.
Grâce à 20 ans d’expérience, les équipes Amio sont en mesure de vous proposer les solutions de levage et de manutention verticale les plus adaptées à votre cœur de métier. Distribution, conception, installation et maintenance : une offre de service complète pour votre chaine de production.
Un développement à l’international
En 2014, AMIO a créé une filiale en Algérie, près d’Alger. C’est la première étape d’une stratégie de croissance à l’international, et en particulier au Maghreb et en Afrique, des marchés à fort potentiel dans le domaine de la manutention et du levage. En participant au salon Petroleum Industry Communication, la société a pu nouer un premier contact avec les chefs d’entreprise algériens parmi lesquels se trouvaient des pétroliers et des gaziers.